"Tout arrive enfin, à qui sait patienter." ce proverbe danois, plein de sagesse, j'ai du mal à le suivre!
Pourtant, rien ne presse. le plaisir d'écrire ne l'emporte-t-il pas, chez moi, sur celui d'être publié? Quoique...?
J'ai hâte de me trouver en présence de futurs lecteurs dans une librairie, une maison de la presse, une bibliothèque, sur un marché, dans le métro...
Ne suis-je pas avide d'aller "à la rencontre d'une rencontre"?