J'emprunte à fénelon: "L'homme impatient ne se donne le temps de rien mesurer..." et je pourrais ajouter: ni de corriger les fautes de frappe, d'inattention, d'orthographe, comme dans mon dernier billet, avant d'appuyer sur le bouton "envoyer".
J'emprunte encore à l'auteur du roman Les aventures de Télémaque: "L'homme impatient est entrainé par ses désirs indomptés et farouches..." Les miens me submergent!
Concernant l'écriture, je voudrais tant...Je griffonne, je corrige, je barre, je jette, j'abandonne, je reprends jusqu'au moment où je questionne: qu'est-ce qui t'agresse? Alors, il m'arrive de poursuivre avec plus de sagesse.